J’irai seule, courir après le vent et l’orage,
Dès qu’il meurt, je sens dans mes larmes les naufrages,
Le Code heurte les innocents tour à tour,
Interdisant la pitié et l’amour,
Ce qu’ils disent, en franchissant le sol de ma lande,
Car ils confondent l’Angleterre avec l’Irlande,
Et si je pars, ce sera juste pour lui,
Le temps d’un baiser ou le temps d’une nuit,
Je creuserai la roche pour une éternelle gemme,
Car j’ai beau l’aimer, il meurt quand même.
18.08.19