Quand tu n’as pas de talent, de vocation sincère,
Mais que tu dois trouver ta place,
Au milieu de ce Monde amer,
Tu essaies en vain, sans pouvoir faire face.
C’est la lumière autour de ceux,
Qui chantent, dessinent et qui jouent,
Mais pour toi et moi et les malheureux,
Qui triment une vie pour pas un clou,
La colère et l’envie remplissent nos âmes,
Nous nous essayons à quelque chose,
Qu’on soit enfant, homme ou bien femme,
La passion et le monde nous opposent.
À perdre haleine, à écrire sur ces pages,
Jusqu’au sang, encore, à gratter sur ces cordes,
Mais nos Muses ne sont pas de passage,
Pour cette vie de labeur et de miséricorde.
Et après tout ce négatif,
Viennent enfin les commentaires,
Et si tu n’es pas attentif,
Tu voudras te foutre en l’air.
Ils te disent « Nul », « Bon à rien », « Inutile »,
« Pourquoi est-ce que tu publies ? »
« Ton art est si puéril »,
« Ça devrait être aboli. »
Je vais vous dire un secret,
Nous avons raté,
Mais nous avons essayé,
Allez crever.
07.12.19
Bien envoyé ! C’est toujours mieux qu’un pain dans la g***** ^^
Sur la fin j’ai pas trop compris ou du moins si c’est des phrases qu’on te balance, c’est sûr : qu’ils aillent crever, ces ravageurs ! 😉
Pourquoi ravageurs ? Si tu retires « va », il reste « rageurs », et un rageur peut être jaloux de ton intelligence à pouvoir t’exprimer sous forme de poèmes.
Voilà voilà.
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