Courons ensemble ailleurs, viens donc, sauve ta vie,
Je laisse en ton lieu mes images de ma porte affranchie,
Des Sorcières, je me souviens, qui te chassaient encore,
Que je te délivre, prisonnier, en leur jetant un mauvais sort.
Mon âme reviendra, jusqu’à ton ère glaciaire prochaine,
Un rapide bruit mécanique pour notre quarantaine,
Et qui sonne l’heure de la dernière civilisation,
Laissant courir mon esprit à trop d’imagination.
Mais j’entends aussi, le son d’un fusil et des pioches,
La vision des dates historiques gravées dans la roche,
Parfois tristes, pour les cortèges, apparaissent-elles,
Et puis joyeuses, en retrouvailles de flammes jumelles.
10.04.2021
Copyright © 2021 by Alisone DAVIES – All rights reserved.