Voilà, l’enterrement de mon amie des ‘Drogheda Creative Writers’ vient de se terminer. (J’écrirais ‘DCW’ dans l’histoire, pour plus de simplicité.)
Et, comme je le pensais, j’ai énormément dissocié durant ce dernier. C’est mon 3e enterrement en huit mois. Donc, par la force, je savais que cela allait me ‘Trigger’ et j’avais une petite idée sur ce qui allait se passer. J’avais raison. Mais, étonnement, j’ai quand même été surprise…
D’abord, je vous conseille de lire mon article :
‘Mon Palais Mental – Updates N°1’
Je vais, désormais, vous narrer cette journée, ce que j’ai découvert et tout le reste.
==> Attendez bien que tout charge, j’ai mis pas mal de photos, de gifs et des liens pour bien tout illustrer.
IRL – Drogheda 11h50 :
Je me suis rendue à l’Église, à côté de chez moi, pour l’enterrement. J’ai retrouvé une amie du groupe des DCW. Nous parlons un peu, puis nous rentrons dans l’Église.
Cette même Église où, la dernière fois que j’y suis allée, c’était pour jouer ‘Silent Night’ au Violon, sur scène, pour le Concert de Noël de mon École de Musique.
Nous nous installons au milieu des bancs et la Messe commence…
« Ne regarde pas les perles. »
IRL – Drogheda 12h :
Ils emmènent le cercueil en paille de mon amie, au milieu de l’autel. Je sens déjà que mon esprit commence à dissocier. Je sens que je pars. J’essaye de m’ancrer, de me raccrocher à n’importe quoi. À la personne à côté de moi.
J’essaye.
J’essaye.
J’essaye.
Puis, mes yeux voient la personne en face de moi. Je découvre surtout son collier. Son collier de perles. Les perles de ce collier. Elles sont étranges. Avec des spirales.
Comme je sens que ça me ‘Trigger’, je décide de regarder ailleurs et de lever les yeux en face de moi. Et, en face de moi, il y a l’autel et le magnifique vitrail sur le mur de l’Église.
C’est à ce moment-là, que je les vois.
Les Clefs.
Je vous avais déjà parlé des systèmes de Clefs dans mon Palais Mental. Ça peut être n’importe quoi : des gens, des mots, des personnages, de véritables clefs, des souvenirs, etc.
Lorsque je vois les deux Clefs sur le vitrail, je plonge directement dans le Palais Mental, et je débarque directement devant…
… Le Maître !
(Come on, What did you expect ?)
Palais Mental – Salle de Contrôle :
Il me sourit. Il porte son Hoodie noir, avec ses cheveux teints en blond et ses yeux noisette.
Il fait virevolter entre ses mains une magnifique Clef. C’est une grosse clef à l’ancienne, rouillée et en or.
Tout en me souriant, il me nargue :
– Come on, Love. Entre dans la salle.
J’hésite, mais je le suis.
Il me donne la Clef, que je garde fermement dans ma main gauche.
Puis, je découvre ENFIN sa Salle de Contrôle.
Je savais bien qu’il en avait une dans le Palais !
Je découvre donc son antre, et c’est magnifique !
Un mélange de tellement de choses !
Déjà, les murs :
Ils sont en vitraux, puisque IRL, je me trouve dans une Église. Sauf que, les vitraux n’ont rien de Religieux. Non, ils représentent des scènes astronomiques. Avec des étoiles, des planètes, la voie lactée, des systèmes, bref, l’espace profond.
Sa machine de Contrôle est une sorte d’octogone en métal clair. Il y a plusieurs ordinateurs, à la fois rétro et futuriste. Un mélange étrange des deux.
Sur cet octogone de commandes, il y a plusieurs ordinateurs qui ressemblent à ceux de la TVA dans la série ‘Loki’. D’ailleurs, toute la salle baigne dans un ton orangé // rouge, comme les locaux de la TVA.
Je regarde dans tous les sens tellement c’est magnifique. Je tiens toujours la Clef entre mes mains, et je découvre que le Maître tient son Tournevis Laser entre les siennes.
Je montre son Tournevis Laser du doigt, et je lui demande :
– Pourquoi moi, je n’en ai pas un ? Est-ce que ton Tardis peut m’en construire un ? Ou un Tournevis Sonic, à la limite !
Il me sourit et m’explique :
– Non, Love. C’est une mauvaise idée. Les Tournevis Sonic peuvent ouvrir des portes et je sais que tu ne veux pas ouvrir les portes dans le Palais…
Et il a raison !
IRL – Drogheda :
J’essaye de revenir dans la réalité, mais je n’arrive pas à m’ancrer. En plus, je n’arrête pas de regarder le collier de perles que porte la dame en face de moi. Je sens que ça veut Trigger quelque chose, que ça me rappelle un souvenir spécifique, mais je ne parviens pas à le revoir…
Palais Mental – Salle de Contrôle :
– Ne regarde pas les perles. Love, arrête de regarder les perles…
Je secoue la tête et je retourne devant le Centre de Commande. Je pose la Clef sur le bord du système de commande, et je regarde avec intérêt tous les boutons sur le tableau de bord.
Puis, je lui demande :
– Pourquoi les ordinateurs ressemblent à ceux de la TVA ?
Il sourit. De ce fameux sourire espiègle que j’aime tant :
– C’est pour te rassurer. Pour ne pas que tu sois totalement dépaysé ici. D’ailleurs, j’ai repris le Design de la Salle de Contrôle lors de ma première apparition en 1971 et 1973.
– Aïe, ne dis pas ‘1973’ sinon tu vas Trigger Sam et il va switcher avec toi. Mais sinon, oui, je me souviens que la première Salle de Contrôle ressemblait à celle-là.
Le Maître rit :
– Comment peux-tu t’en souvenir alors que tu ne l’as jamais vu ?
– Moi non, mais toi, oui. J’ai parfois accès à tes souvenirs.
IRL – Drogheda :
Ma défunte amie étant une Écrivaine, certaines personnes montent sur scène pour lire des poèmes dans le micro de l’autel. Dont le poème qu’elle a elle-même écrit de son vivant, un poème que j’adore et qui est lu par son fils.
J’ai envie de pleurer…
Palais Mental – Salle de Contrôle :
Le Maître me montre tous les boutons, manettes, leviers et manivelles sur le Centre de Commande. Mais surtout, il me montre les cinq énormes ordinateurs, avec des lignes sur les écrans.
Puis, il m’explique :
– Chaque ordinateur représente la Ligne Temporelle d’une personne du Palais. Là, par exemple, tu as 2016 avec Peter. 2015 avec Oswald. 2017 pour Mick et 2011 pour Castiel.
Le cinquième écran montre des centaines de lignes qui partent dans tous les sens.
Je demande donc :
– Et ce bordel, là, c’est quoi ?
Il sourit derechef :
– Ce sont tes Lignes Temporelles, Love. À chaque fois que tu voyages dans le Temps, tu crées une Ligne ou Cosmic Event. D’ailleurs, je m’aperçois que tu n’avais pas besoin de moi pour foutre le bordel dans la Timeline ! Mais, ne t’inquiète pas, je resterais ici pour garder un œil sur tes Sauts Temporels.
– J’en conclus que tu ne comptes pas déambuler dans le Palais avec les autres ?
Il baisse la tête et appuis sur plusieurs boutons, en marmonnant :
– Nan… Ils ne m’aiment pas, les autres. Peter a refusé de me faire entrer, c’est pour ça que je suis passé par le trou noir. Mick pense que j’ai une mauvaise influence sur toi et Oswald veut me tuer. Je n’ai jamais vu Castiel, cela dit, comme il reste au 8e étage.
– Je te rassure, je ne le vois pas souvent non plus, puisque je reste au 3e étage.
Puis, le Maître sourit à nouveau et me dit, avec joie :
– OK, Love, je suis le Maître du Temps, alors vas-y, choisi une Timeline, un endroit et je t’y emmène.
Je n’ai pas besoin de réfléchir bien longtemps :
– 22 Août 1922 à Cork, en Irlande.
Le Maître tique et me fait les gros yeux :
– Wow… C’est précis… Détails ? Pourquoi ?
Je hausse simplement les épaules :
– Je veux sauver Michael Collins de son assassinat.
– Oh, that’s my girl. Toujours à vouloir sauver le Monde !
IRL – Drogheda :
Je n’arrive pas bien à m’ancrer. Ni à la réalité, ni au Palais. Je sens que mon esprit se dissout dans une espèce de brouillard, comme si ma tête se trouvait dans une barbe à papa géante. Je me force à ne pas regarder le collier de perles de la dame en face de moi, du coup, je lève toujours les yeux vers le vitrail derrière l’autel. Et, à chaque fois que je vois les Clefs, je retourne au Palais.
Le fils de la défunte met une musique en mémoire à sa maman.
Je dissocie à nouveau.
Palais Mental – Salle de Contrôle :
Comprenant que j’ai du mal à m’ancrer, le Maître se glisse contre moi et me prend dans ses bras, en murmurant :
– Give us a kiss.
Après notre baiser, il enclenche une musique dans la Salle de Contrôle.
Une musique que j’aime énormément :
‘Snow Waltz’ par Lindsey Stirling.
Du coup, une scène assez étrange se passe :
Au milieu de la Salle de Contrôle, baignée par le rouge et l’orange des vitraux, le Maître portant son vieux survêtement noir et moi ma robe sombre avec mes Converses blanches, nous dansons une valse.
Au rythme de la musique de Lindsey, nous virevoltons dans tous les sens, il me fait tantôt tourner sur moi-même, tantôt en me rapprochant de lui.
Je danse au rythme de la musique du Palais, alors que le Maître danse au rythme de ses tambours. Oui, il faut savoir que le Maître a un petit souci mental, depuis son enfance, il entend des tambours dans sa tête, sans discontinuer, des battements en quatre-temps :
Un, deux, trois, quatre.
D’où sa folie, qui s’aggrave avec le temps.
Pour l’heure, ça me fait bizarre de voir le Maître danser, pourtant, toujours dans notre valse, je lui dis tout sourire :
– Tu sais que je t’ai déjà vu danser ?
Je le vois réfléchir quelques secondes, puis il sourit en comprenant :
– Oh, yeah ! Avec mon Alter féminin, Missy. C’était drôle, de danser sur les toits du Monde devant le Docteur !
IRL – Drogheda :
Les gens vont et viennent au micro, tantôt pour réciter un poème, tantôt pour parler de notre amie partie au ciel. Puis, une dame sur l’autel prend sa guitare et chante une magnifique Ballade tristement belle. Une musique que je ne connais pas, mais qui est merveilleuse.
Palais Mental – Salle de Contrôle :
Le Maître me sent trembler, donc il me rapproche encore plus de lui, je suis collée contre son torse et je peux facilement entendre ses deux cœurs battre la chamade.
Oui, les Seigneurs du Temps ont deux cœurs : un à droite et un à gauche.
Pendant que, IRL, la dame chante sur scène, le Maître, lui, commence à chantonner pour moi sa chanson :
« Blue Monday » de New Order.
(Sur le lien, c’est vraiment lui qui chante !)
Il commence à chanter :
– « How does it feel,
To treat me like you do ?
When you’ve laid your hands upon me,
And told me who you are. »
Je pose ma tête contre ses cœurs, je ferme les yeux, il me tient dans ses bras et continue sa chanson :
– « I thought I was mistaken,
I thought I heard your words,
Tell me how do I feel,
Tell me now, how do I feel.
Those who came before me,
Lived through their vocations,
From the past until completion,
They’ll turn away no more. »
Mes yeux toujours fermés, je m’endors presque, je sens juste le Maître glisser mes cheveux derrière mon oreille, caresser ma joue et continuer la chanson :
– « I still find it so hard,
To say what I need to say,
But I’m quite sure that you’ll tell me,
Just how I should feel today.
I see a ship in the harbor,
I can and shall obey,
But if it wasn’t for your misfortune,
I’d be a heavenly person today. »
Je me sens plus apaisée, les battements de mon cœur ralentissent, comme pour m’endormir, je sens mon esprit partir dans le Monde des songes, je me sens bien et légère.
Le Maître me berce toujours dans ses bras, son visage contre mon front, ses mains dans les miennes, ma tête contre son torse et il termine sa berceuse :
– « And I thought I was mistaken,
And I thought I heard you speak,
Tell me, how do I feel,
Tell me now, how should I feel…
Now I stand here waiting,
I thought I told you to leave me,
While I walk down to the beach,
Tell me how does it feel,
When your heart grows cold… »
Le Maître embrasse mon front.
« Une étoile meurt,
Une autre apparaît. »
IRL – Drogheda :
Assise sur le banc, je ne bouge pas, le regard dans le vide, scotché sur le vitrail en face de moi, je me sens apaisée, calme et endormie.
Après la chanson de la dame, le fils de la défunte reprend le micro, et là…
… C’est affreusement triste et violent, mais il raconte la façon dont il a retrouvé sa maman et comment elle est partie dans les moindres détails. (Et je n’écris carrément pas ça ici).
Du coup, ça me ramène directement à la réalité et ça me choc brutalement.
Palais Mental – Salle de Contrôle :
Je sursaute dans les bras du Maître :
– Tout va bien, Love. Tout va bien.
Je suis encore dans ses bras et je lui demande :
– Tu te souviens quand tu disais au Docteur que tu voulais que les tambours disparaissent de ta tête ? Mais que, en même temps, comme tu les as toujours eus dans ton crâne, tu ne saurais pas comment vivre sans eux ? Tu ne saurais pas comment faire… ?
– Oui. Je me souviens exactement de ce que je lui ai dit, ce jour-là : « Would it stop, then ? The noise in my head ? I don’t know what I’d be without that noise. Drums. The never ending drums. »
Je souris et je reprends :
– J’ai le même questionnement pour les gens dans le Palais. Pour le Palais en général, d’ailleurs. Le Palais, les gens dedans, les Salles, les Codes… Tout ça provient des traumas, tout cela n’existe que pour m’aider. Tout ceci résulte de mes nombreux troubles. C’est sain et malsain en même temps. Et, pourtant… Je ne sais pas ce que je serai sans tout ça. Comment les autres vivent sans ça ? Comment ça se passe dans leurs têtes ? Je ne veux pas que vous partiez, je ne sais pas ce que je ferais sans eux, sans toi, sans vous tous. Je serais seule. Le silence me tuerait. Comme toi sans tes tambours.
– C’est ça, Love. C’est ça. Nous voulons être normaux, nous voulons que tout ceci quitte notre esprit et en même temps, nous ne pouvons pas vivre sans…
IRL – Drogheda :
C’est bientôt la fin de l’enterrement. Le fils passe la musique préférée de sa maman, une chanson entraînante et rigolote, ce qui fait sourire tout le monde dans l’Église.
Mon amie à côté de moi chante les paroles de cette chanson.
Palais Mental – Salle de Contrôle :
Le Maître reprend sa place devant le tableau de bord, moi à sa droite, et je lui dis :
– Au fait, Jem et moi voulons potentiellement faire entrer des animaux dans le Palais. Un chat blanc, pour Jem, qui s’appellera ‘Church’, pour lui rappeler l’Institut de Londres où il résidait dans les années 1870.
Le Maître sourit :
– C’est une bonne idée, Love. Surtout toi qui aimes les animaux, mais qui as peur de les perdre. Au moins, ici, dans le Palais, les animaux seront immortels, ils resteront jusqu’à la fin des Temps et il n’y aura pas d’enterrement pour eux.
Il avait tout compris !
– C’est ça. Mais, du coup, je me demandais : est-ce que tu veux un chat, toi aussi ? Tu sais, comme l’histoire que j’avais écrite, lorsque tu as découvert un chat roux dans ton Tardis et que tu l’as appelé ‘Ivanhoe’ ?
Il sourit :
– Pourquoi pas ! Mais, il devra rester dans la Salle de Contrôle avec moi. Je ne veux pas déambuler dans les couloirs du Palais, et je préfère garder Ivanhoe près de moi.
– Classe ! D’ailleurs, je pense aussi faire rentrer un second chat blanc, ‘Alpine’, pour Bucky.
Le Maître tique :
– Attends… Bucky est dans le Palais ?
– Non… Il frappe à la Grande Porte depuis deux ans, mais j’ai peur de le laisser entrer, car je suis sûr à 99% qu’il est une Clef. Et, le souvenir qu’il doit débloquer est vraiment… Eh bien, horrible. Donc, nope.
– De toute façon, pour passer Peter, il faut en vouloir ! C’est pour ça que je suis rentré par le trou noir. D’ailleurs, c’est plutôt une bonne chose, au moins, j’utilise l’énergie du trou noir pour faire marcher ma Salle de Contrôle.
Je sursaute :
– De quoi ?!
Il sourit, encore de ce sourire espiègle :
– Quoi ? Oui ! Alisone, tu as une ÉNORME réserve d’énergie avec ce trou noir, ça serait dommage de ne pas s’en servir ! Enfin, de ne t’en servir QUE comme corbeille pour le Palais ! L’énergie utilisée pour faire fonctionner le Palais est ridicule comparativement parlant à l’énergie que libère le trou noir en question. Donc, désolé, mais je pompe un peu de fuel pour ma Salle. Tu n’imagines même pas l’énergie qu’il faut pour faire fonctionner des centaines de Lignes Temporelles !
– Bah, comme jusqu’à maintenant, c’est moi qui m’en occupais, j’ai une petite idée, oui…
Nous rions aux éclats.
IRL – Drogheda :
La Messe se termine et quatre personnes viennent retirer le cercueil de paille du centre de l’autel pour le ramener dans le corbillard. Nous nous levons et nous quittons lentement l’Église, sans un bruit.
Palais Mental – Salle de Contrôle :
Avant de quitter le Maître, je lui demande :
– Au fait, Maître, tu devrais poser un Contrôle Isomorphique pour toi et moi sur la porte de ta Salle, pour empêcher les autres de venir t’embêter.
Il sourit jusqu’aux oreilles :
– Déjà fait, Love. J’ai déjà tout prévu.
Il se glisse dans mes bras et m’embrasse amoureusement. Après notre baiser, une larme coule le long de ma joue :
– Je suis triste, ça me rend triste la mort de mon amie.
– Elle a rejoint les astres. Une étoile meurt, et une autre apparaît.
IRL – Drogheda :
Nous nous retrouvons dehors, il est 13h. L’enterrement et ma dissociation ont duré une heure complète. Je rejoins des gens du groupe des DCW, mon amie et moi allons offrir nos condoléances au mari et aux fils de la défunte.
Puis, vers 13h20, je me suis dirigée vers le Pub « Ollie’s ». J’ai bu trois Guinness et j’ai écrit sur les papiers pour les Bookmakers, tous les mots-clefs à écrire ici, pour bien tout expliquer.
Voilà donc comment ça se passe quand je me réfugie dans le Palais Mental…
Comment vous la trouvez la nouvelle Salle ?
Classe ?
Ou pas ?
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